Engagements forestiers pour préserver et renforcer la capacité des forêts à stocker le carbone sur Terre
Le carbone circule dans l'atmosphère. Les forêts jouent un rôle important dans ce cycle, représentant le deuxième plus grand puits de carbone au monde après les océans. C’est notamment en cela que les forêts contribuent à la lutte contre le réchauffement climatique.
PEFC vous invite à découvrir ici les engagements pris et appliqués par les forestiers PEFC dans les forêts certifiées de France métropolitaine. Cependant, ces éléments étant présentés dans une version simplifiée à vocation pédagogique, ils ne sont pas exhaustifs : pour retrouver l’ensemble des règles PEFC, consultez le document officiel des standards PEFC/FR ST 1003-1 : 2025 qui seul fait foi.
Engagement #1 : Maintenir et développer la forêt
Correspond à l’exigence 8.1.1 dans les standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Ce que les forestiers doivent faire pour répondre à cet engagement en France métropolitaine :
Afin qu’une forêt reste une forêt sur le long terme, les forestiers PEFC doivent s’assurer que les arbres puissent s’y maintenir et s’y développer. Les forestiers peuvent accompagner ce processus de plusieurs manières :
- Par le renouvellement de la forêt qui peut s’opérer de deux manières :
La régénération naturelle : en menant des actions qui favorisent la reproduction naturelle des arbres.
La plantation (ou régénération artificielle) : en plantant directement des jeunes plants pour aider la forêt à se reconstituer.
- Par la libre évolution : en laissant la parcelle forestière se développer seule, tout en respectant les préconisations de la politique forestière française (ex : Schéma Régional de Gestion Sylvicole (SRGS), Schéma régional d’aménagement (SRA) et Directives régionales d’aménagement (DRA)) et en restant vigilants à ce que toutes les conditions soient toujours réunies pour assurer sa pérennité. Cela implique une surveillance régulière et planifiée. Mais si le peuplement seul ne parvient pas à être à la fois une ressource de matériel renouvelable tel que le bois, une réserve de biodiversité, un puits de carbone, ainsi qu’un lieu de vie, et que l’équilibre entre ces dimensions est rompu, le forestier s'engage à intervenir.
Quelle que soit la manière dont les forestiers accompagnent le renouvellement forestier, ils doivent utiliser des techniques forestières qui évitent ou minimisent les dégâts ou perturbations de l’écosystème forestier (flore, faune, sol et eau).
En quoi cet engagement contribue à la pérennité des forêts :
Le renouvellement forestier permet d’accompagner la croissance et la bonne santé des arbres en forêt, essentiel pour :
- Assurer une production durable de bois.
- Maintenir la biodiversité, la richesse et la fertilité des sols, le cycle de l’eau et la captation de carbone en forêt ;
- Renforcer la résilience des écosystèmes forestiers face aux perturbations climatiques et biologiques ;
Pour aller plus loin dans la mise oeuvre de cet engagement
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L’intégralité des standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Le guide de mise en oeuvre des exigences PEFC pour la France métropolitaine
Évolutions avec les précédentes exigences PEFC
La libre évolution est aujourd’hui une pratique qui peut être choisie par les forestiers pour leur forêt tout en s’assurant de sa pérennité. Cela veut dire qu’un forestier peut décider de ne pas intervenir dans sa forêt pour la renouveler, si les conditions nécessaires à cette régénération sont bien réunies.
Cela ne signifie pas pour autant qu’il abandonne sa forêt. En effet, compte tenu notamment du changement climatique, il est important que les forestiers surveillent leurs parcelles et leur évolution afin de garantir la durabilité de leur gestion et leur capacité à rester une réserve de biodiversité, un puits de carbone, une ressource de matériel renouvelable tels que le bois, ainsi qu’un lieu de vie.
Engagement #2 : Ne pas remplacer les essences d’une forêt qui se régénère naturellement, sauf si l’état fragile des arbres le justifie
Correspond aux exigences 8.1.2 à 8.1.5 dans les standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Ce que les forestiers PEFC doivent faire pour répondre à cet engagement en France métropolitaine :
Une forêt régénérée naturellement constitue un écosystème considéré comme étant en équilibre. La transformation d’une forêt régénérée naturellement en une forêt de plantation est proscrite. Dans le cas de la transformation en une forêt plantée, les formations végétales qui la composent ne doivent pas être substituées par des arbres plantés dont les essences seraient pour la très grande majorité différentes de celles déjà présentes initialement. Cette pratique est par principe proscrite.
Les seules situations dans lesquelles les forestiers PEFC peuvent procéder à une transformation d’une forêt qui se régénère naturellement en forêt plantée - et ce, sur une surface de 5 hectares maximum d’un seul tenant, sauf cas dûment justifié et documenté - sont les cas où l’état des peuplements et de la forêt le justifient :
- Si les arbres ont été gravement endommagés en raison d’une tempête, d’un incendie, ou de tout autre phénomène et ne parviennent plus à se régénérer naturellement dans les 5 ans qui suivent : PEFC parle de “peuplement dégradé”.
- Si un nombre important d’arbres perdent en vitalité, voire sont mourants, en raison d’un phénomène de sécheresse ou encore d’un agent pathogène (ex : hanneton) et ne peuvent donc plus se régénérer naturellement : PEFC parle de “peuplement dépérissant”.
- Si les arbres de la forêt ne présentent pas encore de signe de dépérissement, mais que leur avenir semble compromis au regard de réactions des mêmes essences dans des contextes similaires (ex : changement climatique) : on parle de “peuplement vulnérable”.
- Si les arbres de la forêt qui fournissent le plus grand nombre de services à la société (ex : captation de carbone, production de bois) sont en nombre insuffisant ou s'ils ne se régénèrent plus de manière satisfaisante : on parle de “peuplement pauvre”.
- Si les arbres de la forêt font partie d’un dispositif expérimental encadré.
Afin d’évaluer si la forêt répond à l’un de ces cas de figure, les forestiers PEFC doivent impérativement réaliser un diagnostic préalable, sauf à ce que celui-ci ait déjà été réalisé de manière exhaustive dans le cadre de leurs documents de gestion durable en vigueur. Basé sur une série de critères, ce diagnostic préalable leur permet d’appréhender l’impact potentiel des options de gestion envisagées (sur les sols, l’eau potable, les risques naturels, ou le stockage carbone par exemple…) et de prendre en conséquence les meilleures décisions possibles dans l’intérêt de sa forêt.
Si le diagnostic permet au forestier d’établir qu’une transformation est le meilleur choix pour sa forêt, il doit en tenir informée l’organisation habilitée à contrôler le respect de ses engagements PEFC. Cette information n’implique pas une autorisation de la part de cette dernière, mais elle lui permet d'être informée qu'une transformation va être réalisée.
En quoi cet engagement contribue à la pérennité des forêts :
Une forêt qui se régénère s’appuie sur des dynamiques propres à son écosystème, maintenant ainsi des interactions complexes et bénéfiques entre le sol, l’eau, la biodiversité et le climat. En cas d’intervention dans cet écosystème, il est important que cela soit fait dans le respect de l’équilibre existant afin que les forêts puissent continuer à fournir des produits et des services essentiels à la société, tout en renforçant leur rôle dans l’atténuation du changement climatique et la protection de la biodiversité.
Changer les essences majoritaires d’une forêt qui se régénère naturellement est susceptible de perturber l’écosystème en place. Cependant, dans le contexte du changement climatique qui affecte gravement certaines forêts en France métropolitaine, la transformation peut alors devenir une solution adaptée. Ce choix doit avoir fait l’objet d’un diagnostic complet qui permet au forestier de confirmer son choix comme étant une réponse réfléchie, proportionnée et justifiée à un besoin avéré de sauvegarde ou de renforcement de la forêt.
Pour aller plus loin dans la mise oeuvre de cet engagement
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L’intégralité des standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Le guide de mise en oeuvre des exigences PEFC pour la France métropolitaine
Évolutions avec les précédentes exigences PEFC
La transformation est une nouvelle notion dans les exigences de gestion forestière durable PEFC pour la France. Il s’agit de la déclinaison française du terme anglais “conversion” issu des exigences internationales PEFC, adapté au contexte de la France métropolitaine.
Cette notion existe également dans le règlement européen contre la déforestation et la dégradation des forêts (RDUE).
Ainsi :
- La transformation en forêt de plantation - c’est-à-dire en une forêt soumise à une gestion intensive constituée d’une ou deux essences, avec des arbres de même âge, espacés de manière régulière - est strictement interdite par le RDUE.
- La transformation en forêt plantée - c’est-à-dire en une forêt constituée pour plus de la moitié par des arbres plantés ou semés - n'est pas réglementée par le RDUE. Les exigences PEFC permettent justement d’encadrer ces cas de figure (cf. les exigences 8.1.2 à 8.1.5.)
Engagement #3 : Ne pas introduire d’arbres dans des zones qui sont reconnues d’importance écologique et qui sont naturellement non-boisées
Correspond à l’exigence 8.1.6 dans les standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Ce que les forestiers PEFC doivent faire pour répondre à cet engagement en France métropolitaine :
Les arbres ne sont pas seuls à jouer un rôle essentiel pour les forêts. Ils font partie d’un plus grand écosystème - végétaux, insectes, champignons, eau, sols, animaux…- dont la présence est aussi essentielle.
Une attention toute particulière doit donc être portée à la préservation de certaines zones naturelles non-boisées compte tenu de leur importance écologique pour l’écosystème forestier, notamment pour d’autres espèces.
Parmi les zones concernées :
- Les tourbières : des sols humides à la faune et flore particulière et riches en matière organique, qui retiennent le carbone, réduisent le risque d’inondation et agissent comme un refroidissant sur le climat.
- Les mares : des petites étendues d'eau douce, peu profondes, qui constituent les habitats d’une grande variété de plantes et d'animaux.
- Les lagunes : des plans d'eau peu profonds séparés de la mer par des barrières naturelles comme des bancs de sable ou des récifs, qui abritent des populations d’oiseaux, de poissons, d’invertébrés, et sont aussi vitaux pour des mammifères terrestres et marins.
C’est pourquoi, il est interdit d’introduire des arbres dans ces écosystèmes, sauf en cas d’autorisation exceptionnelle par les autorités compétentes, sur la base d’une évaluation environnementale préalable.
En quoi cet engagement contribue à la pérennité des forêts :
PEFC s’inscrit dans une démarche globale dans laquelle les arbres sont l’un des maillons et où la préservation des forêts repose aussi sur celle de ces milieux environnants, y compris non-boisés. Introduire des arbres dans ces zones pourrait perturber leurs équilibres naturels, affectant ainsi leur capacité à remplir leurs fonctions vitales pour la biodiversité et l’environnement.
Pour aller plus loin dans la mise oeuvre de cet engagement
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L’intégralité des standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Évolutions avec les précédentes exigences PEFC
L’expression “zones écologiquement importantes” est nouvelle dans les standards PEFC. Elle permet de qualifier notamment les zones non-boisées qui doivent être impérativement préservées par les forestiers PEFC, compte tenu de leur importance écologique. L’introduction de cette notion souligne leur importance pour l’écosystème forestier et sa pérennité.
Engagement #4 : Ne jamais transformer une forêt en terre agricole et toujours conserver l'état forestier des terrains qui jouent un rôle primordial pour l'environnement
Correspond à l’exigence 8.1.7 dans les standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Ce que les forestiers PEFC doivent faire pour répondre à cet engagement en France métropolitaine :
Il est interdit de défricher une forêt :
- Régénérée naturellement pour la transformer en une plantation agricole (on parle alors de déforestation) ou en un espace boisé (on parle alors de dégradation) qui ne serait pas une forêt, comme indiqué dans le règlement européen contre la déforestation importée et la dégradation des forêts (RDUE).
- Dans les zones suivantes :
Celles considérées comme de “haute valeur écologique” par PEFC, compte tenu de leur contribution à la biodiversité, telles que :
- Les cœurs de parcs nationaux, les réserves naturelles, ou encore les réserves biologiques ;
- Les milieux ou habitats remarquables dont la pérennité est fondamentale pour de nombreuses espèces (ex : les lagunes).
- L’unique cas de figure où le défrichement est possible dans ces zones est s’il permet la restauration de milieux remarquables qui auraient été dégradés par le boisement (ex : accrus).
Celles revêtant des fonctions importantes pour la fourniture d’eau potable ou la protection contre les risques naturels (ex : les tourbières) ;
Celles de forte sensibilité paysagère telles que des sites classés ou les lieux faisant l’objet de forte visibilité depuis des points de vue panoramiques répertoriés sur les cartes de l’Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) à l’échelle 1/25 000 èmes (des cartes topographiques qui valorisent les reliefs, cours d’eau, sentiers, constructions…)
Dans tous les autres cas, tel qu’indiqué dans le code forestier, une autorisation préalable est exigée pour pouvoir mener une action de défrichement.
En quoi cet engagement contribue à la pérennité des forêts :
La disparition d’une forêt a des conséquences profondes sur les écosystèmes forestiers, notamment la faune et la flore, et fragilise également les sols. En interdisant le défrichement dans les zones à haute valeur écologique, PEFC contribue à la préservation des forêts et des riches écosystèmes associés s’y trouvant.
Pour aller plus loin dans la mise oeuvre de cet engagement
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L’intégralité des standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Évolutions avec les précédentes exigences PEFC
Le défrichement est interdit dans les “zones à haute valeur écologique”, des zones nouvellement définies dans les exigences de gestion forestière durable PEFC en France métropolitaine et à l’international. En les nommant et les qualifiant, PEFC souhaite encourager leur valorisation et ainsi contribuer d’autant plus à leur préservation.
Engagement #5 : Ne pas introduire ni favoriser le développement d’essences d’arbres exotiques envahissantes qui menacent le milieu forestier d’origine
Correspond à l’exigence 8.1.8 dans les standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Ce que les forestiers PEFC doivent faire pour répondre à cet engagement en France métropolitaine :
Les forestiers PEFC ne doivent pas introduire ou favoriser le développement en forêt d’essences d’arbres étrangères lorsque celles-ci présentent une menace importante pour les écosystèmes : ce sont les espèces exotiques envahissantes.
Toutefois des expériences scientifiques encadrées par des organismes compétents (ex : Centre National de la Propriété Forestière (CNPF), Institut national de la recherche agronomique (INRAE) peuvent amener à l'introduction de ces espèces dans une forêt certifiée dans le seul objectif de recherche et d'amélioration des connaissances.
En quoi cet engagement contribue à la pérennité des forêts :
Certaines espèces qui sont introduites dans les milieux forestiers dont elles ne sont pas originaires peuvent, compte tenu de leur capacité rapide de reproduction, entraîner à plus ou moins long terme la disparition d’espèces locales, la fragilisation de cycles naturels, comme celui de l’eau, des nutriments et la régénération des forêts.
Selon l’Office Français de la Biodiversité, ces espèces exotiques envahissantes contribuent à l’extinction de 60% de la biodiversité à l’échelle mondiale.
Pour aller plus loin dans la mise oeuvre de cet engagement
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Le guide de mise en oeuvre des exigences PEFC pour la France métropolitaine
Évolutions avec les précédentes exigences PEFC
Précédemment, un forestier PEFC devait surveiller et informer les services compétents sur les espèces exotiques envahissantes introduites dans sa forêt. Désormais, au regard de l’évolution des enjeux environnementaux, leur introduction et leur développement sont tout simplement interdits.
Engagement #6 : S’assurer du retour de la forêt au plus tard 5 ans après une coupe rase dans les cas strictement encadrés où elles sont autorisées
Correspond aux exigences 8.1.9 à 8.1.14 dans les standards de gestion forestière durable PEFC pour la France métropolitaine
Ce que les forestiers PEFC doivent faire pour répondre à cet engagement :
La coupe en une seule fois d’un peuplement d’arbres qui sera régénéré artificiellement s’appelle une “coupe rase”. Pour les forestiers PEFC, elle est :
- Interdite dans les cœurs de parcs nationaux, les réserves naturelles, les réserves biologiques, ou encore les ripisylves, qui sont des zones qu’il faut particulièrement protéger compte tenu de leur contribution à la biodiversité et à l'environnement forestier ;
- Limitée à 2 hectares maximum dans :
Les zones de pente supérieure à 30% ;
Les zones de forte sensibilité paysagère tels que les sites classés ou encore les lieux faisant l’objet de forte visibilité depuis des points de vue panoramiques répertoriés sur les cartes de l’Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) à l’échelle 1/25 000 èmes (des cartes topographiques qui valorisent les reliefs, cours d’eau, sentiers, constructions…)
- Limitée à 5 hectares maximum dans tous les autres cas.
Ces seuils peuvent exceptionnellement être dépassés dans des conditions strictement encadrées :
- La coupe ajoute une plus-value sociale, environnementale et économique à la forêt, sans compromettre l’une de ses trois dimensions ;
- La coupe ne menace pas :
Les zones de la forêt qui fournissent des services essentiels à l’environnement et à la société (ex : zones élevées de stockage de carbone) ;
Les zones à haute valeur écologique ni les milieux ou habitats remarquables, dont la pérennité est fondamentale pour de nombreuses espèces (ex : les lagunes) ;
- La coupe ne favorise pas l’introduction d’espèces exotiques envahissantes.
Afin d’évaluer si la coupe rase envisagée répond à l’un de ces cas de figure, les forestiers PEFC doivent réaliser un diagnostic préalable.
Dans les cas où la coupe est permise, le forestier PEFC s’engage à ce que la forêt soit restaurée au plus tard dans les 5 années qui suivent.
N.B. Selon les régions et les documents qui encadrent la gestion forestière durable dans celles-ci, les seuils autorisés peuvent être inférieurs et les forestiers PEFC doivent les respecter.
En quoi cet engagement contribue à la pérennité des forêts :
Les coupes rases peuvent avoir des impacts importants sur les milieux forestiers : érosion des sols, modification des cycles hydriques, effet sur la biodiversité, impacts sur le paysage… C’est pour cela que cette pratique forestière est encadrée par PEFC.
Pour aller plus loin dans la mise oeuvre de cet engagement
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Évolutions avec les précédentes exigences PEFC
Compte tenu de l’évolution des enjeux sociétaux et environnementaux en lien avec le changement climatique, l’encadrement des coupes rases par PEFC est renforcé : les seuils de surface autorisés sont abaissés et les cas de dépassement exceptionnels doivent être justifiés et documentés par un diagnostic préalable.